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Le monde pourrait mettre fin à la situation des sans-abri en faisant cela

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mettre fin à la situation des sans-abri

Le monde pourrait mettre fin à la situation des sans-abri en faisant cela

Si le monde se souciait réellement de mettre fin aux nombreuses situations d’itinérance de ses citoyens, voici une idée qui pourrait vraiment fonctionner et y mettre un terme.

Et en passant, le titre fait référence à un article d’Amnistie internationale de 2011 sur le fait que les maisons inhabitées ont dépassé de cinq fois le nombre de personnes en situation d’itinérance aux Etats-Unis.

Le monde pourrait mettre fin à la situation des sans-abri en faisant cela.

Tout de même, pour les nécessités de l’article, partons de l’idée que le problème des sans-abri aux États-Unis n’est pas le résultat d’un manque de maisons pouvant les accueillir.

Savez-vous que l’on peut faire des maisons avec des bouteilles de plastique ? En les remplissant de sable et en les joignant l’une à l’autre à l’aide de ciment ou de terre, on se retrouve avec des murs résistants au feu et aux projectiles d’arme à feu. De plus, cette structure permet de conserver une température d’environ 18 degrés Celsius en été.

Le monde pourrait mettre fin à la situation des sans-abri en faisant cela

De toute façon, ce n’est pas comme si le monde manquait de bouteilles. Voici quelques statistiques de treehugger.com :

“Les États-Unis utilisent 129,6 millions de bouteilles en plastique par jour soit 47,3 milliards de bouteilles par an. Environ 80% de ces bouteilles en plastique finissent dans une décharge ! »

Pour construire un immeuble de deux chambres, une maison de 110 mètres carrés, cela nécessite environ 14 000 bouteilles.

Les États-Unis jettent assez de bouteilles pour pouvoir construire 9257 de ces maisons avec deux chambres. C’est donc plus de 3,35 millions de maisons, le même nombre que celui des itinérants dans le pays. Alors imaginez sur Terre .

Plusieurs personnes du tiers monde commencent à construire de telles maisons, de l’Afrique à l’Asie. Peut-être que cette tendance va se propager dans le monde entier et permettra de mettre fin aux bouteilles retrouvées sur la route. De toute façon, elles seraient sûrement mieux utilisées en fournissant des maisons aux sans-abri. Comme pourrait l’être toutes ses maisons inhabitées à travers le monde .

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Publié par Claire C.

À propos de l’auteure: J’ai toujours été passionnée par tout ce qui avait trait à la spiritualité et son influence sur nous tant sur le plan psychologique que spirituel. Depuis que j’ai intégré l’équipe d’ESM en 2013, je mets au service toutes mes connaissances pour aider au mieux les gens qui en ont besoin et qui cherchent des réponses à leurs nombreuses questions. J’espère pouvoir y contribuer un peu chaque jour.

5 Commentaires

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  1. Bonjour,

    Le monde ne manque pas de bouteilles mais manque de sable contrairement à ce que tout le monde pense… Pour construire (quelle que soit la nature de la construction), nous avons besoin de sable pour le ciment et malheureusement nous détruisons notre environnement pour en trouver (dans les déserts, en mer…).
    La solution n’est donc pas encore celle-ci.

  2. En Thaïlande les bouteilles en plastiques sont consignées, et ont donc encore une valeur.
    Ce n’est seulement que les pays européens, qui ont estimés que les bouteilles étaient destinées à décorer les bords des routes.

  3. Sans compter qu’il faut encore trouver des terrains pour construire, et ces terrains, il faut bien les payer! Si c’était si simple…

  4. Au lieu d’etre negatif dans vos commentaire regarder le coter positif de la chose ! les gens ne sont pas assez ouvert et c’est pourquoi le monde est degueulasse l’argent va finir pour tous nous tuer un jour ou l’autre ! Bonne journer 🙂

  5. C’est vrai il faut rester positif. Mais ça n’empêche qu’on peut quand même dire que c’est une belle débilité ce titre :))
    J’imagine le temps et la patience qu’il a fallu pour assembler cet ouvrage. Sans compter le nombre de bouteilles !!! Même s’il y en a beaucoup, il faut les recycler, pas en faire des maisons à l’échelle mondiale. Et puis les principaux problèmes sont éclipsés : coût du terrain, nettoyage des bouteilles, où trouver le sable, etc.
    Bref …

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