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Au moins 500 de nos gènes seraient davantage actifs après notre décès

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Au moins 500 de nos gènes seraient davantage actifs après notre décès

Image crédit : Pixabay

Au moins 500 de nos gènes seraient davantage actifs après notre décès

Que se passe-t-il vraiment après notre mort ? Voici certainement l’un des plus grands mystères de l’humanité.

Peter Noble, un microbiologiste de Washington a mené des études intéressantes sur le sujet de la vie après la mort. Noble aurait identifié 500 de nos gènes distincts qui deviennent PLUS actifs et animés après la mort, culminant quatre jours après le décès d’une personne.

Alors, comment les morts se transforment-ils en morts-vivants en nous ? Et pourquoi ?

Ou, comme un autre article scientifique pose le problème : “Une énigme persistante dans l’étude des systèmes biologiques est ce qui arrive aux structures hautement ordonnées, loin de l’équilibre, lorsque leurs systèmes de régulation deviennent subitement invalides.”

Bien que les chercheurs aient déjà relevé certains gènes «vivants» sous la forme de micro-organismes qui restent actifs dans notre corps pendant un certain temps après notre décès, Noble et ses consoeurs ont étudié plus de 1000 cadavres. L’équipe a mesuré quels gènes fonctionnaient dans les tissus de souris et de poissons, de zèbres récemment morts, en évaluant les changements pendant 4 jours chez le poisson et 2 jours chez les rongeurs.

Ce qui était encore plus fascinant à propos de cette découverte, c’est que les gènes «vivants» qui montrent encore une étincelle dans un cadavre fonctionnent de la même façon que ceux que nous avons à notre naissance.

Nombreux de ces gènes post-mortem sont bénéfiques en cas d’urgence ; ils effectuent des tâches telles que stimuler l’inflammation, faire réagir le système immunitaire et contrer le stress. La fonction des autres gènes était beaucoup plus choquante.

“Ce qui est génial, c’est que les gènes du développement sont activés après la mort”, explique Noble.

Ces gènes aident normalement à développer l’embryon, mais ils ne sont pas nécessaires après la naissance. Selon les chercheurs, une explication possible de leur réveil post-mortem est que les conditions cellulaires des cadavres nouvellement morts ressemblent à celles des embryons.

Pourquoi un être humain évoluerait-il pour avoir des conditions cellulaires dans un cadavre qui permettent une renaissance littérale ?

Les bouddhistes tibétains ont une réponse, comme beaucoup d’autres cultures sur la planète qui croient, comme dans les temps anciens : notre corps n’est qu’un vaisseau, mais notre conscience continue.

Peut-être que ces gènes supérieurs à 500 sont nécessaires pour aider à amener la conscience dans un état non physique.

Les bouddhistes tibétains croient que les conditions juste après le décès de quelqu’un sont mûres pour qu’elles puissent déterminer leur prochaine incarnation, en fonction du travail spirituel de leur vie antérieure.

Nous pouvons nous réincarner sans conscience, simplement attirés par l’emprise du karma (pensées et actions récurrentes) dans une vie qui ressemble beaucoup à celle que nous avons prise ou que nous pouvons réincarner consciemment.

Cela signifie que notre moi égoïque (la partie de nous avec une personnalité, des émotions, des croyances, les choses qui nous donnent un sentiment de “moi, je”) ne se réincarne pas, mais que notre essence, ou la nature de Bouddha prend simplement une autre forme sans personnalité, que nous avions l’habitude de définir “nous” avant.

Dans le bouddhisme tibétain, le Bön et d’autres traditions spirituelles, le plus grand accomplissement à la mort (ou par la méditation) est le corps d’arc-en-ciel.

Dzogchen est l’état naturel, primordial ou condition naturelle d’un être humain et la pratique de Dzogchen est un ensemble d’enseignements et de méditations visant à réaliser cette condition ; le corps d’arc-en-ciel.

Source Au moins 500 de nos gènes seraient davantage actifs après notre décès  : The Mind Unleashed  www.anguillesousroche.com

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Publié par Patrick Simon

Révolution conceptuelle et écologie

Je m’appelle Patrick Simon, je suis originaire des Hauts de France. Depuis tout petit, je suis passionné par toutes les nouvelles inventions révolutionnaires que nous pouvons créer. J’ai donc décidé de mettre à profit mes connaissances afin de tenir les gens informés des dernières révolutions conceptuelles qui peuvent nous aider à vivre mieux tout en faisant attention de baisser notre empreinte carbone dans un monde qui a besoin plus que jamais d’une prise de conscience collective. Une seule personne ne peut pas tout faire, mais tout le monde peut contribuer à sa manière à la préservation de notre environnement.

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